Godwin Emefiele, le directeur général de la banque centrale, avais promis que son pays «ne serait plus en récession dès le premier semestre 2018». Pari gagné, semble-t-il, selon les chiffres du FMI qui prévoit une croissance de 2,1% pour Abuja. Grâce aux réformes entreprises par la banque centrale et le le gouvernement à Abuja, le montant des importations locales est passé de 5 milliards de dollars à seulement 1,5 milliard de dollars par mois avec une légère hausse du prix du baril de pétrole. Conséquence: la banque centrale du Nigeria a dégagé assez de marges financières pour ré-injecter progressivement des fonds en faveur des sociétés locales. Ainsi, la banque centrale du Nigeria a ré-injecté 210 millions de dollars dont 100 millions de dollars pour la grande distribution